Timelapse de l'installation des expositions inaugurales de Photo Elysée

Vivez l'installation de nos premières expositions dans nos nouveaux espaces à Plateforme 10, le nouveau quartier des arts de Lausanne, à travers ce timelapse réalisé entre février et juin 2022.

Dans les cartons de Photo Elysée #4

Entrez dans les coulisses de l'installation de nos premières expositions dans notre nouveau musée à Plateforme 10 avec le quatrième épisode de notre série "Ça déménage !"  

Dans les cartons de Photo Elysée #3

Que se passe-t-il à Photo Elysée pendant sa fermeture temporaire ? Entrez dans les coulisses de l'emménagement des équipes à Plateforme 10 avec le troisième épisode de notre série "Ça déménage !"

Sarah Carp, Renaissance, 2018

La vie est mystère, elle nous mène et nous emmène. Tel un bateau vulnérable au milieu d’une tempête, donner naissance c’est s’abandonner au mouvement et se laisser prendre par le vent. Fragilité absolue, solitude et abandon côtoient joie, beauté et force de la nature. Les profondeurs de l’âme réveillent l’instinct de survie et le besoin d’être accompagné.

Yann Gross, Les Maraudeurs, 2018

Après avoir vécu en autarcie dans une forêt pendant dix ans, Brann, un motard au passé délictueux, décide d’ouvrir son terrain à des sans-abri et crée le « village du 115 du particulier ». Ne percevant aucune subvention, la communauté a développé un système de survie grâce au recyclage, la coupe de bois ou la récupération des invendus des supermarchés.

Virginie Rebetez, Memorial Garden, 2018

“Memorial Garden” nous fait naviguer en territoire inconnu, nous immerge dans un monde de l’entre-deux où les éléments se cristallisent pour mieux donner matière aux corps venus chercher refuge au-delà de la mer, engloutis à mi-chemin par celle-ci. Une visite poétique sous-marine où ces milliers de corps, invisibles et anonymes, trouvent existence.

Cyril Porchet, Selfish, 2018

La carpe koï inspire le confort, le calme, la douceur, mais à cet instant précis où elles sont nourries, il en ressort une émotion bien plus étrange, éloignée de l’inspiration au bien-être. Ces deux ressentis opposés peuvent nous amener à associer symboliquement la carpe koï à la problématique des grands écarts de richesse. Quand une poignée de privilégiés se gavent, une autre immense partie de la population s’agglutine dans la détresse. Ces deux catégories sont dans la réalité intimement liée.

Mark Henley, Facing prejudice, 2018

Soulevant des questions liées à l'intégration et à l'expérience des réfugiés en Suisse, “Face aux préjugés” raconte l'histoire d'une exposition qui a mal tourné, sous la forme d'un récit personnel du photographe, réagissant à un acte de vandalisme.

Rebecca Bowring, The Mechanical Bride, 2018

Au quotidien, nos téléphones portables et notre vie en ligne absorbent une part toujours plus importante de notre temps et de notre attention. A tel point qu'il semble parfois plus facile de regarder un écran que de croiser le regard d'un inconnu. Notre ubiquité numérique nous isole-t-elle les uns des autres ? Rebecca Bowering nous met face à un miroir.

Mathieu Bernard-Reymond, On n’y comprend rien, 2018

Cette séquence est fondée sur les rapports visuels entre trois histoires correspondant à trois temporalités, trois perspectives différentes sur notre place dans l’univers et le temps. Notre humanité est inextricablement liée à cette place dont nous tentons pourtant de nous extraire en cherchant perpétuellement à dépasser notre nature imparfaite et finie.